Réduire ses déchets plastique Le plastique est devenu au fil des années omniprésent dans nos vies. Sa production n’a cessé d’augmenter depuis les années 50 pour atteindre aujourd’hui 9 milliards de tonnes de plastique accumulées. Les matières plastiques prennent plus de quatre siècles à se dégrader mais seul 9% du plastique jeté depuis les années 50 a été recyclé. Ce qui signifie que 91% des déchets plastiques n’ont pas été recyclés, c’est autant de plastique qui finira par joncher nos océans, nos plages, nos cours d’eau, nos sols … On estime que chaque année, nous produisons entre 450 et 550 kg de plastique par personne. Au niveau mondial, environ 5.000 milliards de sacs en plastique sont consommés annuellement. Plus problématique encore : seule une portion minime de cette quantité, moins de 10%, est recyclée. Si nous voulons que la situation cesse de se dégrader et s’améliore enfin, il faut que chacun y mette du sien. Réduire ses déchets plastiques n’est pas très compliqué. Il suffit juste d’adopter de bonnes habitudes meilleures pour vous, votre famille et la planète ! L’impact du plastique Cette impressionnante majorité de plastiques non-recyclés fini dans des décharges, des canalisations ou dans les océans, où les sacs prendront en moyenne 450 à 500 ans à disparaître de la nature, alors qu’une bouteille en plastique durera 100 à 1000 ans. Dans un premier temps, cela a un impact négatif sur la vie marine qui se retrouve étouffée et consomme de grandes quantités de plastique chaque année. Le bétail souffre aussi de ce problème, et par conséquent nous finissons également par ingurgiter des particules de plastique. En d’autres termes, la consommation excessive de plastique n’est pas uniquement un problème environnemental, mais également de santé ! Temps de décomposition des déchets : Nous pouvons tous faire changer la situation en adoptant quotidiennement quelques gestes simples : Aux courses : Évitez le suremballage et les produits emballés individuellement. Préférez les produits vendus en vrac ou à la découpe, et amenez votre propre contenant. Aillez toujours un sac réutilisable avec vous. Privilégiez les emballages réutilisables ou consignés aux emballages à usage unique. Au bureau : Remplacez les gobelets jetables par une tasse ou un thermo. De la même manière, n’achetez plus de bouteilles en plastique, mais utilisez une gourde. Dans la cuisine : Choisissez des couverts et ustensiles en métal ou en bois. Bannissez les pailles à usage unique, il en existe également qui sont faites de métal et donc réutilisables. Dans la salle de bain : Préférez les savons et shampoings blocs aux alternatives en bouteille. Utilisez une brosse à dent en bambou, un matériau naturel et biodégradable, ainsi que du dentifrice solide. Choisissez des produits d’entretien, de lessive… plus concentrés. Vous pouvez également fabriquer vos propres produits afin de nettoyer votre maison avec des ingrédients naturels : Pour un désinfectant anticalcaire : mélangez une cuillère à soupe de bicarbonate de soude avec 1L d’eau chaude et une cuillère à soupe de vinaigre blanc. Astuce : ajoutez quelques gouttes d’huile essentielle pour une bonne odeur dans votre maison ! Pour vos vitres : mélangez du vinaigre distillé avec la même quantité d’eau, puis frottez vos vitres à l’aide d’un chiffon doux. Pour la lessive : remplacez votre adoucissant par du vinaigre blanc ! Et n’ayez pas peur, votre linge ne sentira pas le vinaigre une fois le cycle terminé. De plus, le vinaigre fera disparaître le calcaire de vos machines à laver, ce qui contribuera à son entretien ! N’achetez plus de bouteilles d’eau Chaque année, les bouteilles d’eau sont à l’origine de 1,5 million de tonnes de déchets plastiques. De plus, savez-vous que la fabrication d’une bouteille en plastique nécessite 1 litre d’eau ? Cela signifie qu’en achetant une bouteille d’eau 1,5L, vous consommez en fait 2,5L d’eau ! Donc pour éviter de gâcher de l’eau et réduire vos déchets plastiques, utilisez plutôt des bouteilles réutilisables en verre notamment. En installant un filtre à eau ou une carafe filtrante, votre eau du robinet sera encore meilleure que celle en bouteille ! Vous vous rendrez aussi rapidement compte que cela permet de faire des économies d’argent. C’est vrai qu’a Paris, j’utilisais une carafe filtrante à la maison mais pour emporter, j’utilisais des petites bouteilles en plastique.En arrivant en Norvège, j’ai vu tout le monde avec une gourde ou bouteille en verre réutilisable et j’ai fait pareil !En plus moi qui aime boire de l’eau fraîche, j’ai acheté une gourde thermos et j’ai de l’eau fraîche tout le temps ! L’eau du robinet est d’excellente qualité en Norvège. Sauf indication contraire, vous pouvez boire l’eau du robinet partout.Des bouteilles d’eau sont en vente dans les supermarchés, les kiosques, les stations essence et les boutiques d’alimentation mais à l’unité, il est très rare de trouver des pack d’eau. L’eau dans les habitations se paye au forfait en Norvège, il y a une taxe fixe incluse dans les taxes communales mais cela ne dépend pas de la consommation, on paye donc une somme fixe (dans les 250€ par an) et c’est illimité !Les Norvégiens ont l’habitude de toujours avoir une gourde avec de l’eau, même pour une simple balade en ville. Ils aiment beaucoup l’eau gazeuse et utilisent les machines du type Sodastream, l’eau étant illimité et les bouteilles de gaz consignées, on fait des économies, on consomme moins de plastique. Utiliser des sacs réutilisables Pour les courses et pour les légumes ! Un sac plastique met 1000 ans pour disparaître. 1000 ans durant lesquels une tortue de mer pourra le confondre avec une méduse, le manger et mourir étouffée. 1000 ans de pollution alors que l’espérance de vie humaine est d’environ 80 ans. Prenons conscience de l’état dans lequel nous allons laisser notre planète aux générations futures. Alors pensez à utiliser des sacs réutilisables. C’est un petit geste qui, à grande échelle, diminuerait considérablement l’utilisation de sacs plastiques. Vous pouvez par exemple investir dans des sacs en coton qui coûtent peu et sont facilement lavables en machine. Utiliser un filtre à café permanent et STOP aux capsules à café
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Beforeigners, première série norvégienne produite par HBO Europe Beforeigners est une série télévisée norvégienne en six épisodes qui a débuté le 21 août 2019. Il s’agit de la première série en langue norvégienne produite par HBO Europe. Créée et écrite par Eilif Skodvin et Anne Bjørnstad et dirigée par Jens Lien. Produite par Rubicon TV AS. Pitch La série se déroule à Oslo, où soudainement plusieurs éclairs de lumière se produisent dans la mer à Bjørvika. Les éclairs de lumière se transforment en un phénomène mondial où des personnes du passé émergent soudainement dans le présent – des personnes de l’âge de pierre, de l’âge viking et du 19ème siècle. Cinq ans plus tard, les soi-disant «avant-gardes» ont du mal à s’adapter à la société norvégienne moderne. Une femme portant des tatouages de l’âge de pierre est retrouvée morte sur une plage. L’enquêteur de police Lars Haaland (interprété par Nicolai Cleve Broch) est chargé de l’enquête. Il est affecté à l’enquêteur de police nouvellement diplômé Alfhildr Enginnsdottir (interprété par Krista Kosonen), qui était auparavant une jeune fille au 11ème siècle, en tant que partenaire. Elle est la première dans le service de police avec un « fond multi-temporel ». Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
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Noël en Norvège https://www.youtube.com/watch?v=x4p9kEBsYY0 Mon tout 1er séjour en Norvège était à la période de Noël, c’était un de mes plus beaux séjours. Les norvégiens sont très religieux et la période entre Noël et le nouvel an est particulière car beaucoup d’endroits sont fermés. A noël, les gens passent du temps en famille, ne sortent pas trop donc en tant que touriste ce n’est pas forcement le meilleur moment pour aller visiter ce magnifique pays. En revanche la période juste avant Noël est très intéressante car avec les marchés de Noël, les nombreux concerts et autres sorties culturelles, il se passe pleins de choses. On ne peut pas penser Norvège sans penser… le pays du père Noël!!! Mais d’où vient le père Noël (Julenisse) exactement? http://www.julehus.no/ Il viendrait de Drøbak à 50 km au sud d’Oslo. Regardez l’épisode sur la Laponie La maison de Noël (Tregaardens Julehus) : Cette magnifique maison aux couleurs féeriques vous fait tout de suite entrer dans la magie de Noël. Tregaardens Julehus vend un large assortiment d’articles de Noël. On y trouve toutes sortes de décorations de Noël, des bougeoirs, des serviettes, des pères Noël, des souris de Noël, des nappes et des bougies.La seule maison de Noël de Scandinavie à être ouverte toute l’année renferme également le bureau de poste du Père Noël, où l’on peut faire tamponner son courrier avec le cachet officiel du Père Noël ! Une des traditions est de faire un gros ménage de Noël. Toutes les pièces de la maison sont nettoyées de fond en comble afin que tout soit encore plus propre et plus brillant pour le 24 décembre. Beaucoup de familles ont leurs propres traditions pour le soir du 23 décembre : elles décorent le sapin de Noël et préparent une maison en pain d’épices. Souvent, elles mangent un riz au lait avec du sucre, de la cannelle et du beurre. Une amande est cachée dans le riz au lait – celui qui la trouve dans son assiette gagne un petit cochon en massepain ! Pendant l’Avent, on sert souvent un Gløgg – un vin chaud Scandinave. Il est généralement à base de vin rouge, mais existe également dans une variante sans alcool.On peut goûter au gløgg dans la plupart des marchés de Noël d’Oslo. Pour l’accompagner, nous vous recommandons un pepperkake, un biscuit aux épices. Un des repas traditionnel de noël : La pinnekjøtt (côtes de mouton salées et séchées) La préparation de la Pinnekjøtt (que l’on peut conserver une année à la cave ou au frais )Achetez des côtes d’agneau ou de moutonSalez avec deux kilos de gros sel gris de chaque côté et laissez reposer durant 3 jours à 8 à 10°Malaxez les côtes une fois par jour (avec le sel)Après 3 jours de salaison, essuyez et retirez le sel avec du papierMettez les côtes d’agneau dans un linge propre et sans odeur de lessive (ou dans un filet à jambon, on en trouve désormais dans les grandes surfaces au rayon conserves et bocaux)Laissez sécher au frais (cave, frigo ou chambre froide durant 6 à 8 jours environ)Et voilà, c’est prêt!!!On peut même les fumer avant la salaison (cela augmente la conservation et évite les moisissures) C’est le moment des danses autour du sapin de Noël. Toute la famille danse et chante des chansons de Noël et on tourne autour du sapin. Deux cercles sont formés autour du sapin.Dès que tout le monde chante, le premier cercle tourne vers la droite et le second vers la gauche. Quand le chant s’arrête, tout le monde change de cercle et on recommence avec un autre chant. Joyeux Noël à tous!!!! https://www.youtube.com/watch?v=ED3bQ6i8I-k&feature=share&fbclid=IwAR13oPplxkgQe5-mbpIE6rGl71Eku3AeINZzg9y5TxovPVOF9WxQX8efRqEhttps://www.youtube.com/watch?v=sbrOJEfvuVQhttps://www.youtube.com/watch?v=vF5jDW1537E Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
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La bibliothèque du futur à Oslo Dans la forêt d’Oslo pousse la bibliothèque du futur et vous ne lirez jamais ses livres : ils « vont sommeiller durant cent ans » Six auteurs, dont la Canadienne Margaret Atwood, ont accepté d’écrire un livre pour une anthologie qui ne sera pas publiée avant 2114. Au total, cent manuscrits inédits vont ainsi être rassemblés au fil du siècle. Margaret Atwood a donc été la première auteure à contribuer (2014), suivie du romancier britannique David Mitchell (2015), du poète islandais Sjón (2016), de l’auteur et commentateur politique Elif Shafak (2017) et la romancière sud-coréenne Han Kang (2019) Comment écrire un livre pour des lecteurs qui ne sont pas encore nés et dont la réalité sera sans doute bien différente de celle de l’auteur ? Pour un écrivain, c’est une chose que d’espérer passer à la postérité. C’en est une autre que de rédiger un texte qui ne sera lu par aucun de ses contemporains, sans jamais connaître l’accueil qui lui sera réservé. Acclamé pour son autobiographie en six tomes, le Norvégien Karl Ove Knausgaard a confirmé, le 20 octobre, qu’il était le sixième romancier à avoir accepté de relever ce défi vertigineux. Depuis quelques mois, il travaille en secret sur un manuscrit, dont il ne révélera que le titre, le 23 mai prochain, lors d’une cérémonie symbolique, organisée dans la forêt de Nordmarka, au nord d’Oslo, où un millier d’épicéas ont été plantés, en mai 2014. Des feuilles des arbres aux feuilles des romans L’idée de ce projet un peu fou a germé « il y a de nombreuses années » dans l’esprit de Katie Paterson. « Je dessinais les cercles de croissance d’un arbre et cela m’a fait penser aux chapitres d’un livre, se remémore l’artiste écossaise. J’ai fait le lien entre les feuilles des arbres et les feuilles des romans. » Le concept prend vie en 2011. La Britannique est alors invitée en Norvège par la commission chargée du réaménagement de l’ancien quartier portuaire de Bjorvika, au bord du fjord d’Oslo. Le front de mer est en pleine métamorphose : les chantiers navals et les autoroutes doivent laisser place à des musées, des appartements et des parcs. « Nous avons proposé à plusieurs artistes de réfléchir à une œuvre d’art pour le quartier », raconte Anne Beate Hovind, membre de la commission et présidente de la fondation Bibliothèque du futur. Katie Paterson la recontacte. Elle s’immerge une semaine dans les bois de Nordmarka, dans une cabane sans eau courante ni électricité, pour « réfléchir à la meilleure façon de concrétiser ce lien entre mots et arbres ». La solution : demander à cent auteurs d’écrire des œuvres qui ne seront publiées qu’en 2114, lorsque des arbres plantés spécifiquement à cet effet seront assez grands pour être abattus et transformés en papier. Séduite, la municipalité d’Oslo alloue une zone de la forêt de Nordmarka pour planter mille pins et promet de réserver une salle de la future bibliothèque publique à la conservation des manuscrits. Les curieux pourront la visiter à partir de 2020. Une fondation est créée pour assurer la pérennité du projet et choisir l’auteur qui, chaque année, contribuera à la Bibliothèque. Katie Paterson et Anne Beate Hovind y siègent, aux côtés de représentants de la ville et d’éditeurs (deux Norvégiens et un Britannique). « Les auteurs sont choisis pour leur contribution remarquable à la littérature et à la poésie, autour des thèmes de l’imagination ou du temps », précise l’artiste. La fondation vise tant que possible la parité et cherche surtout à inclure « de nombreux pays et de nombreuses langues ». David Mitchell crapahute entre de vertigineux épicéas centenaires, sur un sentier de la forêt de Nordmarka. Une petite centaine de personnes, dont de nombreux enfants, s’enfoncent avec le romancier dans les bois, à quelques kilomètres d’Oslo, dans le sud de la Norvège. Ce 28 mai 2016, l’auteur de Cartographie des nuages – best-seller adapté au cinéma en 2012 – est fébrile. Il transporte son dernier ouvrage, soigneusement enfermé dans une boîte en noyer portant son empreinte sur le couvercle. L’écrivain britannique a mis le point final à From Me Flows What You Call Time (« De moi coule ce qu’on appelle le temps ») seulement quatre jours plus tôt, selon Wired (article en anglais). Après avoir imprimé le court manuscrit, il a supprimé le fichier de son ordinateur et effacé toute copie. Au grand désespoir de ses fans, qui ne pourront sans doute jamais lire cette œuvre unique. Elle restera cachée durant les cent prochaines années. C’est l’artiste écossaise Katie Paterson qui est à l’origine de ce projet en 2014. Chaque année durant 100 ans, un ouvrage sur les thèmes de l’imagination et du temps sera ajouté à la collection de la bibliothèque du futur. En 2114, soit dans 95 ans, les manuscrits seront édités et publiés. Le programme a également supervisé la plantation et l’entretien d’un millier d’arbres en 2014. Lorsqu’ils atteindront leur pleine maturité après un siècle, ils seront abattus et partiellement utilisés pour imprimer les 100 livres de la série. La nature du projet signifie que personne d’autre que les auteurs n’ont lu l’œuvre qu’ils ont soumise. Les organisateurs ont déclaré : « Aucun adulte vivant aujourd’hui ne saura jamais ce qu’il y a dans les boîtes, si ce n’est qu’il s’agit de textes qui résisteront aux ravages du temps ». Mettre les manuscrits à l’abri de l’imprévu Ces futures générations sont au cœur du projet : chaque année, des enfants assistent à la remise rituelle des manuscrits dans la forêt. « J’emmènerai mon bébé à la prochaine cérémonie, confie Katie Paterson. Je ne serai pas là pour voir ce projet se réaliser, mais peut-être que mon enfant lira cette anthologie dans quatre-vingt seize ans, dans une maison de retraite. » Du moins si rien ne vient perturber ses plans. « Il y a beaucoup d’imprévus possibles. La forêt pourrait brûler ou être détruite par une tempête ; les manuscrits pourraient être volés… » énumère Anne Beate Hovind, présidente de la fondation. Impossible également de prévoir avec certitude combien d’anthologies pourront être imprimées en 2114. « Cela dépendra de la longueur de chaque manuscrit. » « C’est comme la Belle au bois dormant. Ces textes vont sommeiller durant cent ans puis (…) revenir à la vie » – Margaret Atwood Que découvriront les lecteurs dans ces anthologies ? Qui s’intéressera encore au projet ? « Comme il est étrange de penser que ma propre voix, alors silencieuse depuis bien longtemps déjà, s’éveillera soudainement
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Donne-moi des ailes : l’histoire vraie qui a inspiré Nicolas Vanier Le pitch « Donne-moi des ailes » se passe en Camargue et en Norvège ! Christian, scientifique visionnaire, étudie les oies sauvages. Pour son fils, adolescent obnubilé par les jeux vidéos, l’idée de passer des vacances avec son père en pleine nature est un cauchemar. Pourtant, père et fils vont se rapprocher autour d’un projet fou : sauver une espèce en voie de disparition, grâce à l’ULM de Christian ! Commence alors un incroyable et périlleux voyage… Il y a d’abord eu un livre … et puis le film ! https://www.youtube.com/watch?v=3kqNRCm7qZg Le roman de Nicolas Vanier est inspiré de l’histoire de Christian Moullec qui a volé avec ses oies. Regardez ce reportage sur TF1 L’histoire Christian, un scientifique, a décidé de sauver les oies naines menacées de disparition en se lançant dans un projet fou. Celui d’apprendre un nouvel itinéraire aux oies naines grâce à son UHLM afin qu’elles évitent tous les dangers pour leur permettre de se reproduire et ainsi sauver l’espèce. Il élabore son plan, en secret, à la limite de la légalité. Son fils Thomas, qui vit en région parisienne, doit le rejoindre en Camargue pour les vacances. Ce qui ne l’enthousiasme pas beaucoup, ce dernier préférant les jeux vidéos à la nature. Mais très vite, Thomas va s’intéresser au projet de son père et va s’attacher aux oisons dès leurs naissances. C’est alors que père et fils retrouvent une complicité perdue depuis le divorce. Accompagné de son ami norvégien Bjorn, Christian va emmener Thomas dans un grand voyage de la Camargue jusqu’au nord de la Norvège. Mais ils sont loin d’imaginer les périls qui les attendent… Un tiers des oiseaux d’Europe ont déjà disparu Ce film aux images magnifiques a été soutenu par Allain Bougrain-Dubourg, le président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO). « Le film a ceci d’extraordinaire qu’il invite à l’engagement. Au fond, c’est l’histoire d’un gamin qui ne va pas rester indifférent face à une espèce menacée, et qui se dit à sa manière : ‘Comment je peux agir ?‘ », raconte l’activiste et réalisateur de télévision. Au-delà du film, l’aventure se poursuit pour sauver ces oies. Toutes espèces confondues, un tiers des oiseaux ont déjà disparu du ciel européen. Une extinction qui se poursuit inexorablement. Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
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La Reine des neiges 2 : Walt Disney s’inspire de la Norvège « La Reine des neiges 2 » est un long-métrage d’animation des studios Disney, réalisé par Chris Buck et Jennifer Lee, sorti en décembre 2019. Il s’agit de la suite du film La Reine des neiges, sorti en 2013. Le pitch Pourquoi Elsa est-elle née avec des pouvoirs magiques ? La jeune fille rêve de l’apprendre, mais la réponse met son royaume en danger. Avec l’aide d’Anna, Kristoff, Olaf et Sven, Elsa entreprend un voyage aussi périlleux qu’extraordinaire. Dans La Reine des neiges, Elsa craignait que ses pouvoirs ne menacent le monde. Dans La Reine des neiges 2, elle espère qu’ils seront assez puissants pour le sauver… https://www.youtube.com/watch?v=XEWZw_5yIrs Lorsque Disney a créé « La reine des neiges » en 2013, ils ont trouvé l‘inspiration pour les personnages et leur environnement en Norvège. Ils sont à nouveau venus en Norvège pour réaliser « La reine des neiges 2 ». Ils se seraient inspirés du village de Å aux Lofoten, de Tønsberg (là où j’habite) qui est la plus vieille ville de Norvège, de Undredal, un petit village le long du Sognefjord et de bien d’autres endroits. Tournée de presse internationale La semaine dernière, des journalistes internationaux se sont rendus en Norvège pour découvrir les lieux qui ont inspiré la production. Innovation Norway Tourism a organisé une tournée de presse internationale en collaboration avec Disney, Avinor, Northern Norway Tourism et Fjord Norway, ainsi que des sociétés de destinations locales à Bodø, Bergen et Balestrand. Le thème principal de la tournée de presse était la Norvège, source d’inspiration pour « Frozen » et « Frozen II » (dont la première aura lieu le 25 décembre en Norvège). Disney a également effectué cette fois plusieurs voyages de recherche en Norvège pour recueillir des éléments du folklore, de la culture et de la nature norvégiens. – Nous sommes ravis que Disney ait souhaité s’associer à nous pour cette tournée de presse et que Peter del Vecho ait souhaité participer à l’ensemble du programme. Cela en dit long sur ce que la Norvège peut offrir et sur les efforts de nos partenaires qui ont mis au point un programme de presse passionnant et de grande qualité, déclare Katrine Mosfjeld, responsable du marketing auprès des consommateurs du tourisme Innovation Norvège. Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
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Lofoten Masters : La competition de surf la plus septentrional au monde Chaque année depuis 2007, y ont lieu les Lofoten Masters, la seule compétition de surf au monde située à l’extrême nord du globe (68,9° de latitude) Non seulement on peux faire du surf en Norvège mais en plus on y trouve la compétition la plus septentrional au monde : Lofoten Masters Les résultats de la compétition sont annoncés sur le site Un petit coin de paradis très polaire caché au milieu de fjords majestueux et inondé des lumières vertes des aurores boréales : Unstad, situé dans l’archipel des îles Lofoten, est le spot atypique de surf, qui séduit de plus en plus les doux dingues de la glisse en milieu extrême. La compétition est passée d’un rassemblement de surfeurs locaux à un événement international qui a retenu l’attention des médias du monde entier. Bien que la compétition soit devenue plus formelle, les organisateurs se concentrent sur la création d’un événement où tout le monde, quelle que soit sa nationalité, son sexe ou son expérience de surf, se sentira bien accueilli et pris en charge. Ils souhaitent que les participants rentrent chez eux avec le désir de revenir l’année prochaine. Film : Under An Arctic Sky « Under An Arctic Sky » (disponible sur Netflix) est un documentaire sur six surfeurs qui voyagent dans les coins les plus reculés de l’Islande au milieu de l’hiver à la recherche du spot de surf parfait. Ils navigunt le long des côtes gelées de l’Islande alors que la pire tempête de ces vingt-cinq ans est sur le point d’arriver. La tempête souffle, ferme le pays et fait de la recherche de vagues une menace pour leur vie. Malgré l’obscurité constante et les mers orageuses, le groupe poursuit sa recherche des vagues parfaites et tente de marquer l’histoire en surfant sous les aurores boréales. https://www.youtube.com/watch?v=oLYyftv3wWM&t=1s Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
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« Chacun son monde » aux îles Lofoten sur Ushuaïa TV et TV5 Monde J’ai eu la chance de passer 15 jours aux îles Lofoten en avril dernier pour travailler comme fixeuse pour l’émission « Chacun son monde ». (Ushuaïa TV : Canal 204 sur la free box) Le reportage sera diffusé sur Ushuaïa TV le mercredi 9 octobre à 20h40. L’émission Cette collection d’aventures et de connaissances est une invitation au voyage qui entraîne les téléspectateurs au cœur de la vie quotidienne d’hommes et de femmes qui vivent dans de petits villages du monde. Elle montre que les relations entre les deux genres, masculin et féminin, sont très éloignées de celles auxquelles nous sommes habitués. Pour raconter ces histoires, nous suivons deux personnages qui forment un duo mixte. Chacun deux découvre la vie de ses congénères du même sexe. Pour eux, c’est « Chacun son monde ». Ils sont accueillis par un homme et une femme qui partagent avec eux leur vie et toutes leurs différences… Lui, suit l’homme ; elle, suit la femme. Cette collection montre des réalités du quotidien, des tranches de vie authentiques et sincères, des rapports humains universels partagés dans des endroits magnifiques de la planète. Une invitation au voyage où hospitalité rime avec beauté et nature avec culture. Présenté par Pascal SARRAGOT et Floriane BRISOTTO, diffusion TV5 Monde et Ushuaïa TV Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
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Découverte d’une maison funéraire viking Les archéologues du NTNU Science Museum ont découvert ce qui semble être un petit mausolée, ou lieu de sépulture, dans le centre de la Norvège. L’archéologue en chef, Raymond Sauvage, l’a qualifiée de «découverte très rare et intéressante». C’est le dernier d’une série de découvertes en Norvège. Récemment, une équipe différente a découvert un chaudron en bronze datant de l’époque romaine dans une excavation près de Trondheim, également liée à la construction d’une nouvelle route. Le style de construction est typique de l’époque viking, mais présente également des similitudes avec les plus anciennes églises en bois debout.Les archéologues disent que le bâtiment faisait cinq mètres de long sur trois mètres de large. La construction semblait solide, avec des piliers en bois aux angles et des planches en bois aux murs. Cependant, il ne reste plus qu’un fossé rectangulaire avec les empreintes de la maison et quelques pierres de soutien à l’endroit des murs. «Nous pensons qu’il y avait une tombe dans la maison, car nous voyons que la maison était au milieu d’un grand monticule», a expliqué Sauvage. Excavation d’une ferme viking Les travaux d’excavation du site connu d’une ferme de l’ère viking sont en cours dans le cadre de la construction de la nouvelle autoroute E39 à Vinjeøra. Selon la loi, le patrimoine culturel potentiel doit être considéré en relation avec les nouveaux projets de construction.Les experts savaient qu’il y avait eu une colonie viking ici et avaient enquêté sur plusieurs des tertres funéraires. Des années d’agriculture ont dégradé les vestiges, mais les traces découvertes ne laissent aucun doute. Une prise de vue aérienne montre clairement les monticules circulaires et les traces de tombes. Au milieu d’un monticule se trouve un fossé rectangulaire. Il s’agit de l’empreinte d’un bâtiment et non d’un bateau ou d’un navire typique des enterrements. Nouvelle compréhension des coutumes funéraires Les archéologues ont également découvert sur le terrain de Vinjeøra des traces de sépultures viking dans des bateaux et des cercueils. Cette découverte spéciale d’un mausolée révèle de nouvelles informations sur les rituels funéraires de l’ère viking. Cela suggère qu’il y avait une plus grande variation dans les coutumes funéraires à cette époque que nous l’avions connue auparavant. «Certains ont également été incinérés. Nous espérons que cela nous permettra de mieux comprendre l’ère viking en Scandinavie », a déclaré Sauvage. Un enterrement symbolique Une quinzaine de bâtiments funéraires de ce type ont été découverts en Norvège. Certains ont également été découverts en Suède et au Danemark mais, à l’heure actuelle, les archéologues en savent peu sur ce phénomène. L’équipe pense que le mausolée pourrait avoir une valeur symbolique similaire à celle des tombes à bateaux. Dans ces cas, on pense que les navires ont symbolisé le voyage dans l’au-delà. Pourquoi les familles vikings ont choisi une maison comme tombe et des bateaux pour d’autres ? «Peut-être ont-ils construit une maison pour les morts afin qu’il puisse rester à la ferme et la protéger ainsi que la famille», a déclaré Sauvage. Les archéologues ont encore beaucoup à faire et les fouilles se poursuivront pendant le reste de l’automne et l’année prochaine. Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
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Marche aux flambeaux à Oslo le jeudi 26 septembre Jeudi soir, 4 000 torches s’allumeront le long de la rivière Akerselva en hommage à l’équinoxe d’automne. En marchant le long de la rivière, vous pourrez découvrir 100 sculptures lumineuses, de la danse, de la musique et des installations – le tout gratuitement! La manifestation commence à 20 heures et se termine à 23 heures. Le sentier longe toute la rivière Akerselva, de Frysja à la ville et traverse la ville. Vous pouvez commencer où vous voulez, mais il est recommandé de marcher vers le sud en direction du centre-ville. Cet événement extrêmement populaire a eu lieu pour la première fois lors des célébrations du 1000e anniversaire d’Oslo en 2000, et les foules ont augmenté pour atteindre environ 40 000 personnes ces dernières années. Le projet est une coopération entre les institutions culturelles et les autorités locales. Près de 1 000 volontaires contribuent à l’événement chaque année. infos Consultez le programme sur elvelangs.no. Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
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