La Saga de Magnus par Laurent Peyronnet J’ai reçu les 3 jolis livres, gentiment dédicacés par Laurent Peyronnet et je n’ai pas perdu une minute pour me plonger dans les aventures de Magnus ! et j’ai ADORÉ ! Ses écrits se situent au cœur des montagnes et des fjords dans le royaume des vikings et des trolls. Premier volume : « Magnus, une histoire pour tuer le temps » On est tout de suite transporté au pays des lapons et on a très vite l’impression de connaître Magnus et on a envie de l’aider dans ses aventures. Le petit personnage du troll est aussi très attachant et ce livre est très agréable à lire à n’importe quel âge. On a très envie de lire dans la foulée le deuxième chapitre pour savoir comment le jeune Magnus va s’en sortir. Deuxième volume : « Le dernier chaman » J’avoue que j’ai eu une préférence pour ce 2ème volet, la rencontre de personnages historiques, sa quête d’identité et la curiosité de savoir si Magnus allait pourvoir rentrer chez lui et si oui, dans quelles conditions?J’ai été transportée et l’écriture est très agréable. Ces livres sont aussi bien pour les adultes que pour les enfants, bref, j’ai été séduite. Pour la version illustrée de ce 2ème tome ( et pas pour la version poche), vous pouvez télécharger une application qui vous fera accéder à des vidéos et des sons contribuant ainsi à vous faire voyager encore plus loin. Troisième volume : « Les peuples invisibles » Cette 3ème partie nous emmène encore plus loin dans l’imaginaire.J’ai été complétement absorbée et transportée dans l’histoire !Et puis au bout du 3ème volet on commence un peu à avoir cette sensation que l’on connait Magnus et c’est très agréable !La nature, la mythologie; l’aventure, tout y est pour passer un bon moment ! Pour acheter les livres : L’auteur : Laurent Peyronnet Il est aussi guide dans les régions de Bergen, Oslo, du Cap Nord, des Iles Lofoten et biens d’autres coins de Norvège et de scandinavie. Il m’a accordé une ITW pour le blog, lisez l’article : Laurent Peyronnet : auteur et guide Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
Biblo Tøyen : une bibliothèque interdite aux adultes Le message est clair dès l’entrée : Limite pour les adultes (Voksengrense) et les chaussures (Skogrense) ! Car oui, en Norvège on se déchausse lorsque l’on entre chez quelqu’un même si c’est pour 5 minutes. Pas dans les lieux publiques en général mais là l’idée et de rendre l’endroit cosy et « comme à la maison » Un lieu réservé aux 10-15 ans Les adultes ne passent pas la ligne ! C’est leur espace à eux, et on voulait que ce lieu dépasse la simple bibliothèque. Que ce soit un vrai lieu de rencontre Silje Bjerke Directrice de la bibliothèque A Oslo, dans le quartier de Tøyen, cette bibliothèque est interdite aux adultes ! Elle est réservée aux 10 -15 ans. Jusqu’à présent le musée Munch se trouvait à Tøyen mais il va être déplacé cette année dans le tout nouveau et plus grand musée au monde dédié à un seul artiste : le bâtiment « Lambda » dans le quartier de Bjørvika prés de l’opéra. Edvard Munch et son « Cri », c’est un peu le trésor national ! En déplaçant le musée dans un autre quartier, Toyen a perdu l’une des grandes institutions norvégiennes. Pour compenser ce sentiment de perte, la municipalité a alloué des ressources supplémentaires Hilde Olea Simonsen Responsable des ressources au département des infrastructures de la Ville d’Oslo Après l’école qui termine tôt (entre 13h00 et 14h00) par rapport aux standards en France, en début d’après-midi, beaucoup d’enfants du coin ne savent pas où aller. « Un tiers des enfants vivent sous le seuil de pauvreté établi par la ville, ils vivent dans des petits appartements. Ils ne peuvent donc pas recevoir leurs copains ». En 2016, un vidéo-club abandonné est transformé en bibliothèque, mais pas n’importe laquelle, « une bibliothèque pour les humains, pas pour les livres », Biblø Toyen. L’architecte Aat Vos, explique la maîtresse des lieux, souhaitait en faire « un tiers-lieu pour les enfants, où ce n’est ni l’école, ni chez toi, mais où tu te sens comme à la maison, bienvenu. C’est comme un café de village, mais pour enfants ». Là, les enfants peuvent cuisiner, monter des spectacles, regarder des films, faire de la programmation, des jeux vidéo, fabriquer des objets avec des outils plus ou moins sophistiqués – dans un coin, derrière un camion se cache une imprimante 3D. Et aussi, bien sûr, lire. « On a le même objectif que les autres bibliothèques, à savoir, transmettre culture et connaissance. Mais pour ça, il faut que les enfants aient envie de venir ». Au moment de l’aménagement du lieu, les enfants du coin ont été consultés, et ce qui ressortait était l’envie d’un lieu « safe, où ils se sentent à l’aise ». Une psychologue de l’intérieur a travaillé sur le lieu, « on a appris que par exemple, c’est tout bête, mais les enfants aiment s’asseoir dans des petits espaces ». Et effectivement, l’endroit regorge de coins pensés pour susciter confidences et débats – des cabines de téléski, un camion dans lequel la cabine pour conducteur surélevée est l’endroit idéal pour se réfugier. Au fond, un coin avec des hublots est tapissé de velours bleu ; Jules Verne n’aurait pas renié cet espace propice à la rêverie, et aussi à la littérature. « Parfois on voit 6 gamins dans un tout petit box, et l’autre d’à côté vide. Ils aiment s’asseoir proches les uns des autres », s’étonne Silje Bjirke. « En ce moment, on a un projet autour de l’Égypte antique, d’où le squelette de pyramide au milieu : l’espace bouge en permanence ». Un lieu de vie qui marche : 150 enfants viennent chaque jour. En 2017, Biblø Toyen a reçu le prix de la bibliothèque de l’année. En Norvège, les bibliothèques sont une affaire sérieuse. La ville d’Oslo a également décerné au lieu le prix de la santé publique. « Nous pensons qu’une part de la réponse à la crise climatique se loge dans les villes, comment on les construit et comment on y vit, étaye Hilde Olea Simonsen de la municipalité d’Oslo. Une ville durable (dont Oslo est l’une des championnes avec son budget climat, ndlr) passe aussi par la qualité de vie de ses habitants ». Et celle des générations futures. Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
Ragnarök : série Netflix sur la mythologie nordique Créée par : Adam Price.Avec : David Stakston, Jonas Strand Gravli, Theresa Frostad Eggesbø, Herman Tømmeraas et Emma BonesFormat : 6 épisodes de 50 minutes.Diffusion : A partir du 31 janvier sur Netflix. https://www.youtube.com/watch?v=7H9AaiBLHCo Le pitch Dans la mythologie nordique, « Ragnarök » signifie la fin du monde et la bataille finale entre les Dieux et les Géants. Magne, son frère Laurits et leur mère sont de retour à Edda, petite ville de Norvège qu’ils ont quitté des années auparavant suite à la mort de leur père. Peu de temps après leur arrivée en ville, Magne commence à exhiber d’étranges pouvoirs. Le créateur de Borgen et Au nom du père s’attaque cette fois-ci au fantastique et délivre une version contemporaine des légendes nordiques. À plusieurs reprises, la série fait référence aux écritures historiques comme avec le nom de la ville Edda, qui désigne l’ensemble des vieux poèmes scandinaves. Sans être trop didactique, la série se réapproprie les légendes que nous connaissons, pour la plupart ramenées sur le devant de la scène grâce à Marvel. Ici pas de super-héros en collant, mais un jeune homme en proie à des changements impressionnants et qui va vraisemblablement devoir affronter des créatures mythologiques effrayantes. Chaque épisode s’ouvre avec la définition d’un terme nordique et c’est assez intelligent. Plutôt que d’introduire laborieusement des thématiques qui nous sont pour la plupart inconnues, Ragnärok affirme sa volonté de faire découvrir les légendes. Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
Refleks : shining creatures All rights reserved © Illustrations : Raphaëlle Taschet Text : Anne-Sophie Drouet Follow us on social media : Facebook Instagram
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Refleks : créatures lumineuses Tous droits réservés © Illustrations : Raphaëlle Taschet Texte : Anne-Sophie Drouet Suivez-nous sur les réseaux sociaux : Facebook Instagram
La première piste de ski couverte de Norvège et l’une des plus grandes au monde : SNØ ❄️ 36000 mètres carrés de neige❄️ 1,5 km de pistes de ski de fond suspendues au plafond❄️ Pistes de difficulté variable + rails et sauts Vivez les joies de l’hiver tous les jours, toute l’année à SNØ à Lørenskog, à 15 minutes du centre d’Oslo. Vous pouvez faire du ski alpin, du snowboard et du ski de fond dans une salle de ski couverte, quel que soit votre niveau. Du débutant au professionnel, tout le monde est le bienvenu. SNØ dispose de 36 000m2 de pistes et pistes enneigées. Il y a des pistes de ski à trois niveaux de difficulté, un parc de ski avec des rails, des sauts et un grand saut, ainsi qu’une piste de ski de fond de 1,5 km de long. Dans la zone débutants, vous pouvez jouer avec vos enfants ou essayer un nouveau sport dans un environnement sûr. Vous y trouverez tout ce dont vous pourriez avoir besoin pour une journée dans la neige : louer des snowboards, des skis et des vêtements d’hiver. En plus de la salle de ski, il y a aussi des restaurants, des magasins de sport et une salle de sport. Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
Retour du Soleil au Cap Nord Après une nuit polaire de plusieurs mois, le soleil est enfin de retour au nord. Le soleil ne s’était pas levé depuis le 21 novembre au delà du Cercle Polaire Arctique. Depuis début janvier, il est de retour aux îles Lofoten. Tromsø et Kirkenes l’ont revu le 15 janvier mais les habitants de Tromsøya eux ont du attendre lundi matin, le 21 janvier. Mais la saison des aurores boréales n’est pas terminée pour autant, vous avez la possibilité d’en voir jusque mi-avril. Conseils pour voir des aurores boréales en Norvège Conseils pour photographier des aurores boréales Au Cap Nord c’est aujourd’hui le retour de notre boule de feu. Pour les habitants du Svalbard, il faudra attendre mi février courage ! En savoir plus sur le climat en Norvège https://www.youtube.com/watch?v=myfCFz5KG8Q Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes
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Un remède contre le cancer du sein dans les fonds marins du Svalbard Des chercheurs Norvégiens de l’UiT ont trouvé des animaux qui contenaient une molécule sensationnelle capable de tuer le type le plus agressif de cellules cancéreuses du sein. La découverte dont elle parle est une petite molécule, trouvée sur le fond marin au large de Bjørnøya au sud de Svalbard en 2011. « Nous avons réalisé très tôt que cela pourrait être une découverte révolutionnaire, certaines de ces lignées cellulaires n’étaient pas du tout affectées, tandis que d’autres étaient très affectées, même à de faibles concentrations » Kine Østnes Hansen professeure agrégée à l’École norvégienne des pêches de l’Université arctique de l’UiT de Norvège. La molécule faisait partie d’un soi-disant hydroïde. Il s’agit d’une collection de cellules uniques, qui se sont réunies sous forme de plante et sont collées sur le fond marin. Afin de découvrir quelles substances se trouvaient dans l’hydroïde, ils ont testé plusieurs lignées cellulaires différentes. » Certaines de ces lignées cellulaires n’ont pas été complètement affectées, tandis que d’autres ont été très affectées, même à de faibles concentrations » Kine Østnes Hansen professeure agrégée à l’École norvégienne des pêches de l’Université arctique de l’UiT de Norvège. Le cancer du sein est le cancer le plus courant chez les femmes. En 2018, plus de 3500 femmes norvégiennes ont été touchées par le cancer du sein. Dans environ 15% des cas, on parle de cancer du sein triple négatif. La forme la plus agressive de cancer du sein, qui est extrêmement difficile à traiter. Certains types de cancer du sein ont des propriétés spéciales, ce qui facilite également leur traitement. Un exemple est un type de cancer du sein qui utilise des œstrogènes pour se développer de façon incontrôlée. La molécule qu’ils ont trouvée agit comme un frein à la division cellulaire des cellules cancéreuses du sein triple négatives. « Si nous arrivons à transformer cette molécule en médicament, ce sera une toute nouvelle alternative de traitement pour un groupe de patients cancéreux qui ont aujourd’hui des options de traitement limitées et et donc un pronostic moins favorable que pour les patientes atteintes d’autres types de cancer du sein. Je crois fermement que la molécule que nous avons trouvée peut devenir un médicament un jour » Kine Østnes Hansen professeure agrégée à l’École norvégienne des pêches de l’Université arctique de l’UiT de Norvège. Les chercheurs de l’UiT travaillent dur pour voir s’il est possible de fabriquer des médicaments à partir de la molécule qu’ils ont trouvée. Les substances n’ont pas encore été testées dans les études animales, il reste donc beaucoup de travail à faire pour déterminer si elles conviennent à un usage humain. Source : NRK Lire les autres articles Regardez les vidéos Suivez moi sur Facebook Retrouvez le podcast gratuitement sur iTunes